L’art de se reconnaître avec la morphopsychologie

Il n’y a pas de bons ou de mauvais traits physiques en morphopsychologie. Absolument aucun. Il y a juste des inclinaisons naturelles, des manières de penser ou d’agir préférentielles qui transparaissent dans notre physique.

L’art de se reconnaître avec la morphopsychologie

L’art de se reconnaître avec la morphopsychologie 940 360 Christophe LE BEC

Avez-vous le sentiment de bien vous connaître ? En êtes-vous bien certain ? Dans mon expérience, ce que l’on croit être repose en réalité sur la somme de nos conditionnements, des croyances que l’on entretient à propos de soi-même. Par habitude, on a tendance à se définir à travers ses pensées : je suis cela, je suis comme-çi ou comme cela. On peut ainsi se définir comme plutôt peureux ou téméraire, volontaire ou effacé, très intelligent ou un peu couillon, menteur, généreux, digne de confiance ou encore tête en l’air, persévérant ou dispersé, petit ou grand, etc. Ces pensées petit à petit nous façonnent. Et nous finissons par leurs donner raison en nous y soumettant.

Que suis-je ?

Ces croyances n’ont, dans mon expérience, comme seule réalité, que celle que je leur accorde. Vous remarquerez que les pensées que nous avons sur nous-mêmes ressemblent étrangement à des jugements. Mais d’où proviennent ces jugements ? De vous ?

Pour ma part, je constate que ces jugements trouvent leurs racines dans ce que l’on m’a dit de moi depuis l’enfance. Ils émanent des jugements et croyances de mes parents, de mes grands-parents, mais aussi de mon frère, ou de des professeurs que j’ai pu croiser lors de ma scolarité. Bref, à y regarder de plus près, je me rends vite compte que mes pensées, toutes mes pensées, celles que j’ai sur moi comme celles qui concernent le monde dans lequel je vis, émergent en moi toutes seules sans que j’en sois le véritable auteur. Mes pensées sont les fruits de mes conditionnements. Rien d’autre. Je crois avoir le choix de mes pensée, mais lorsque je fais l’effort d’y regarder de plus près…. Et bien je constate que non ! Je n’ai pas le choix. Mes pensées surgissent et s’imposent à moi, chargées de « croyances » que je perçois comme des vérités absolues.

Ce que je pensais être ma personnalité n’est donc en réalité qu’un agrégat de pensées issues de ces conditionnements. Et j’ai fait miens tous ces jugements, toutes ces croyances familiales. Derrière ces pensées, voyez-vous percer la certitude que vous n’êtes pas comme il faut ? La conséquence a été pour moi que je faisais tout pour ne pas être jugé ou critiqué. Je n’agissais pas à partir de ce que j’étais vraiment, mais à partir des pensées auxquelles j’avais adhérées. J’essayais coûte que coûte d’être différent, de changer et de masquer mes si « vilains défauts » pour me sentir accepté. Et voilà comment on se retrouve à rejeter ce qui se vit en nous, par rejeter des parts de nous, des parts essentielles, mais que l’on imagine pas acceptables.

La morphologie ne ment pas !

Avec ce que j’ai énoncé précédemment, vous comprenez que la morphopsychologie vient faire un pied de nez à toutes nos croyances, à tous nos conditionnements, de façon très frontale !

La morphopsychologie offre une manière distanciée, « objective » de se rencontrer tel que l’on est. Je mets le mot objective entre parenthèse, car évidemment, la morphopsychologie n’a rien d’une science exacte, je dirais même qu’il s’agit plutôt d’un art, au sens où cela fait appel à une lecture précise des traits du visage auxquels sont associés des traits de caractère, mais aussi cela fait appel à l’intuition et à la personnalité du praticien qui va écrire ce portrait. Il y a donc les traits et la forme du visage, des récepteurs sensoriels, et un regard qui interprète la signification et l’interaction de ces caractéristiques physiques entre elles. Cela n’a rien d’anodin. Ne prenez donc jamais tout ce que j’écris pour argent comptant, mais vérifiez si cela vous parle, si cela résonne en vous, si c’est vrai pour vous. Et si cela ne l’est pas, jetez-le ! Il me semble important de rappeler que le seul à savoir ce qui est juste pour vous, c’est vous et personne d’autre !

En morphopsychologie, il n’y a pas de bons ou de mauvais traits physiques. Absolument aucun. Il y a juste des inclinaisons naturelles, des manières de penser ou d’agir préférentielles qui transparaissent dans notre physique.

Lire son portrait écrit par quelqu’un d’autre, et se reconnaître dans ce portrait sans jugement, possède un pouvoir cathartique. Il me semble très libérateur de se voir décrit ainsi, surtout quand ce qui est écrit ou dit semble tout à coup si vrai pour soi, si évident et/ou troublant.

Pour plus renseignements : En savoir plus sur le portrait Morphopsychologique

Christophe LE BEC // Tél. 06.79.23.78.38.

Christophe LE BEC

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